samedi 27 octobre 2012

aapel

Merci à Myckaa pour ce témoignage... borderline




Avec une justesse, et une réalité, je suis émue à lire ses pages, mais aussi cette vidéo qui decrit tellement bien ce que l'on peut vivre en étant borderline...



Je vous invite à visiter son blog dont voici le lien...

mercredi 24 octobre 2012

Sur ma peau...

                 
Linnea Olsonn
@cellolinnea
                

Sur ma peau...

Indélébile,
aposé sur ma peau,
tu te caches et te dévoiles au gré de mon effeuillage.
Ta caresse douloureuse me changera
de part ce qui sera ton essence.
Regarde moi, trouve moi, et admire moi
En toute simplicité
en grand secret
Tu resteras bien au delà de mon existance
tu me survivras!
Force et détermination,
Sensualité et candeur,
Beauté pudique ou explosive d'une image
qui signifie bien plus que ce que l'on ne voit.
Tu es en moi... je n'ai plus le choix.
                                                               Cello




mardi 23 octobre 2012

Pause musicale avec LargoBand

Moment de plaisir et d échange avec le groupe de musique d une amie...

LargoBand
 de Strasbourg.



De formation classique ce groupe ne se prend pas au sérieux et nous proposera un répertoire intemporel et rempli d humour...

Je vous laisse découvrir le lieu et l' affiche...

Bonne ballade!!

fort puissant et fou.

The 2nd law






jeudi 18 octobre 2012

Quand la photo devient un art, Vincent Bordignon







Envie de me plonger dans cette beauté étrange ou surréaliste mais tellement expressive ; des talents alsaciens, des modèles, couturiers, maquilleurs et photographes qui rendent l'image artistiquement sublime !
J'aime partager ce qui fait du bien, du bon...
Avec tous mes remerciements à
 Vincent Bordignon,
photographe dans la banlieue de Strasbourg.





« On s'était dépensé en vaines subtilités pour décider si la photographie devait être ou non un art, mais on ne s'était pas demandé si cette invention même ne transformait pas le caractère général de l'art. »
Walter Benjamin




son site
son facebook








 « Seules les images fortement saisies ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire, d’y rester, de devenir, en somme, inoubliables. C’est pour moi le seul critère d’une bonne photographie. »

Adams Ansel




photos extraites de : 

WAS Magazine






mercredi 17 octobre 2012

impression...


L'attachement expliqué par Boris Cyrulnik


L’attachement


L’attachement se définit comme un lien particulier, sélectif, que l’enfant établit au départ de sa vie avec un adulte et dont le but pour lui est de maintenir une proximité physique avec cet être de référence qui génère le sentiment de sécurité.La figure d’attachement principal est très généralement la mère, mais en cas d’empêchement ou d’inaptitude ce peut être un père, une mère adoptive ou une autre personne : toute personne en fait qui sait répondre de façon appropriée aux signaux de l’enfant, qui prend soin de lui de façon continue, constante, stable, chaleureuse, et surtout qui est accessible lorsque l’enfant se sent inquiet.

BOWLBY en fit la première description.
Plus tard, ROBERTSON décrira chez le jeune enfant trois phases évolutives exprimée à partir de la séparation d’avec sa figure d’attachement :
  • protestation – désespoir – détachement
Différents types d’attachement
C’est Mary AINSWORTH qui proposera le concept de « base de sécurité ». Elle met au point un protocole d’observation en sept épisodes de la séparation – réunion entre la mère et l’enfant qui lui permet de décrire trois types d’attachement :
  • « sécure », le plus fréquent, considéré comme la norme : l’enfant proteste lors de la séparation et accueille avec plaisir sa mère au moment de son retour
  • « insécure », comportant deux situations :
  • « insécure-évitant » : l’enfant paraît peu affecté par la séparation et évite la proximité avec sa mère lors des retrouvailles
  • « insécure ambivalent ou résistant » : l’enfant montre de la détresse lors de la séparation mais mélange contact et rejet lors de la réunion avec sa mère.
MAIN en 1985 introduit une autre catégorie, « insécure désorganisé » :
lors du retour vers sa mère, l’enfant a un comportement dépourvu de stratégie cohérente : il est débordé par l’angoisse, et n’arrive pas à obtenir un soulagement à sa détresse.
Cette classification s’est révélée valable pour toutes les cultures, y compris celles, en Afrique par exemple, dans lesquelles plusieurs personnes s’occupent de l’enfant et sont pour lui des figures d’attachement.
« Cette épreuve (de la séparation – réunion) a montré son intérêt pour prédire les compétences du bébé dans des études liant la qualité de l’attachement à 12 mois et le fonctionnement émotionnel et social de l’enfant avant 6 ans en ce qui concerne la tolérance aux frustrations, la résistance et la capacité d’effectuer des apprentissages.
Cependant il est très important de noter que le déroulement normal et progressif de cette évolution suppose qu’il n’y ait pas d’événement de vie venant la contrarier.
Les deuils, les séparations, les traumatismes, les maladies graves, etc… ont un impact sur l’attachement qui peut modifier le style d’attachement, d’autant plus que l’enfant est plus jeune et qu’il bénéficie moins de l’intervention de facteurs protecteurs ». (N. et A. GUEDENEY, « L’attachement »).


Attachement au père et à la mère : différences ...

Les premiers travaux sur l’attachement n’étudiaient que la dyade mère-enfant.
En 1964 SHAFFER et EMERSON ont montré que le père peut être aussi une figure d’attachement, et d’autres travaux récents le confirment. Il reste cependant beaucoup à découvrir encore sur ce lien père-enfant.
Se pose alors la question du pouvoir sécurisant des pères et des mères. C’est surtout LAMB, spécialiste des relations père-enfant, qui apporte une réponse, non remise en question aujourd’hui :
Après avoir étudié des familles suédoises dans lesquelles c’est la mère qui travaille à l’extérieur et le père qui s’investit dans les soins à l’enfant (congé parental), il constate qu’il y a une équipotentialité du père et de la mère pour ce qui concerne la vie de tous les jours.
Mais en cas de fatigue, maladie, présence d’une personne peu familière ou stress quelconque, c’est vers la mère que l’enfant se tourne car c’est avec elle qu’il se sent le mieux rassuré et consolé.

L’attachement au père se différencie donc de l’attachement à la mère. En effet les comportements sensibles des pères vis-à-vis de l’enfant ne prédisent pas la sécurité de l’attachement comme avec les mères. La sécurité avec le père paraît associée au jeu et à la résolution de problèmes.
Depuis les années 1990, les scientifiques admettent que la qualité de l’attachement à la mère est le meilleur garant de l’adaptation socio-scolaire.

Cependant les meilleurs scores de compétences se retrouvent chez des enfants attachés de façon sécurisée à chacun de leurs parents.
L’enfant peut donc nouer plusieurs attachements différents, mais il y a toujours une hiérarchie et une figure principale d’attachement qui aujourd’hui encore, malgré le travail féminin et la plus grande implication des pères est le plus souvent la mère.
Ceci s’explique en partie par l’expérience de la grossesse et l’accouchement durant lesquels les facteurs hormonaux influencent le comportement maternel en jouant un rôle dans la sensibilité et l’émotionnalité de la mère avec son enfant, mais des facteurs psychologiques et sociaux peuvent interagir en influençant la qualité du système de « caregiving » (don de soins)

L’importance avérée de la sécurité de l’attachement a entraîné une modification des habitudes et comportements dans les domaines qui touchent à l’enfance et dont l’objectif est d’apprivoiser la séparation. C’est ainsi que l’on a amélioré la qualité des crèches par la formation de leurs personnels et l’accueil des bébés qui doit être progressif. On prévoit des hébergements non loin des hôpitaux pour que les parents puissent être présents lors des hospitalisations des jeunes enfants. On a crée une nouvelle discipline, la « maternologie » dont l’objectif est de rétablir un lien satisfaisant entre la mère et l’enfant lorsque ce lien ne l’est pas, et que la mère présente des difficultés à exercer sa parentalité.
Transmission du « modèle interne opérant »
On retrouve dans toutes les études un lien entre les représentations de la mère et celles de l’enfant :
  • mère sécurisée : enfant sécurisé
  • mère insécurisée : enfant insécurisé.
Autrement dit, en fonction de son propre « modèle interne opérant » qu’elle s’est construit dans les premières années de sa vie, la mère va influencer le sentiment de sécurité de son bébé par les interactions qu’elle a avec lui.
Les études, à ce jour, ne montrent pas la même influence du modèle interne opérant du père. C’est plutôt par le langage qu’il influence l’enfant.

extrait de : http://www.lenfantdabord.org/lenfant-dabord/lattachement/


AUTRES LIENS

http://www.agence-adoption.fr/home/IMG/pdf/TA_Lattachement_un_lien_vital_WEB.pdf

http://www.webdlambert.com/dossier-resilience.html

Dans sa peau....


" Un maître dans l’art de vivre ne fait pas de différence entre son travail et ses loisirs, son esprit et son corps, son éducation et sa distraction. Il met en œuvre sa vision de l’excellence dans tout ce qu’il fait et laisse les autres déterminer s’il travaille ou se divertit. A ses yeux, il semble toujours faire les deux”.
François-René de Chateaubriand






Et de quatre !

Bienvenue à Thierry D.

Que de plus heureux que de vous présenter mon nouvel ami avec l'arrivée d'un quatrième membre?

 D'autant plus que mon ami en question est lui aussi sous le symbolisme du chiffre 4.


Calligramme de Martine Maillard



Vous l'aurez compris mon rêve à pris forme.

Il a 4 cordes.
Je ne m'attendais pas à en acquérir un de si tôt,
mais le sujet s'est présenté à moi
avec une évidence sans nom!

Je vous laisse l'admirer.



Maintenant, il me faut trouver un professeur qui me fera ce bien de m'apprendre à m'en servir... Disons que je m'y suis tentée, et certes, cela paraît être d'une facilité quand on écoute tous ces artistes que j'admire tant, il en est bien plus complexe, mais tout de même, j'ai pu jouer une mélodie enfantine....ouïe!!!!! Nos oreilles !

En attendant de lui trouver un nom, ( lâchez votre imagination !)
 je vous laisse... mon ami m'attend  ;))

                                                                                                                        Cello

vendredi 12 octobre 2012

Merci Jacques.....





Les larmes que je ne peux retenir sont la résultante du talent
qui éclate au travers de son génie !
           
                                                                                                                 Cello

Ecritoi-re, Christine Dusong, écrivain public





Le fruit d'une belle rencontre faite sur ce monde virtuel.
Christine a un talent indeniable qu'il me fallait vous partager.
Son don est empreint d'une telle empathie qu'elle touche au plus juste ce qu'elle retranscrit de notre propre essence.
Merci pour sa plume posée sur mon témoignage concernant l'avc de l'enfant, avec délicatesse.
Sa sagesse m'a littéralement touchée
Merci Christine pour ces mots...
                                                                                                       


                                                             Cello